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encore une nouvelle machine qui va bientot remplacer les coupeurs!
pour l'instant,elle détecte les souches à supprimer et autres statistiques comptables mais elle a bien un sécateur au bout de son "bras"!!!
elle coûte 25 000 euros
apparemment,elle n'a pas de seau;peut etre qu'il y aura t il encore besoin des porteurs?????????????espérons le!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
à moins qu'une copine ait été créée avec un petit seau sur le dos
et qu'on nous la cache pour l'instant...............................à suivre!
la précarité va s'amplifier pour les personnes sans qualification qui comptaient sur ces emplois saisonniers pour survivre
4 commentaires -
Les machines à vendanger ont tué l'emploi saisonnier; avant, les vendanges étaient joyeuses et les vignes vivantes grâce aux employés saisonniers
aujourd'hui,le vigneron ressemble à MAD MAX chevauchant sa drôle de machine
Seul contre qui?d'ailleurs?
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- 2 kg de farine
- 12 à 16 œufs
- Zeste de 6 citrons
- 2 cubes de levain (en boulangerie)
- 1 peu de sel
- 250 g à 400 g de beurre- 1 bouteille de 180 ml d’eau de fleur d’oranger
- 2 ou 3 l d’huile (huile de bonne qualité pour friture)
- 1 kg de sucre finDiluer le levain dans le beurre fondu. Battre les œufs avec l’eau de fleur d’oranger et les zestes de citron.
Mettre la farine et le sel dans un grand saladier et incorporer tour à tour les deux mélanges précédents. Si la pâte est un peu sèche, rajouter du beurre, si elle colle trop, ajouter de la farine.
Quand la boule de pâte se forme et se décolle des parois du saladier, mettre de la farine sur la table et commencer le pétrissage de la pâte.
Pour bien monter et s’étirer facilement, la pâte doit être travaillée longuement. Il faut la tordre, la découper, l’étirer et à chaque fois reformer la boule, l’aplatir et la battre et à nouveau faire la boule et la pétrir.
Quand la pâte a bien été travaillée, la laisser reposer de deux à trois heures dans un endroit tiède, posée dans un linge et à l’abri des courants d’air. Autrefois quand les maisons étaient moins bien chauffées on la gardait sous un édredon. La pâte doit doubler de volume.
Découper une première bande de 5 cm dans la pâte et laisser la boule bien recouverte. Débiter cette bande en pâtons de 5 cm. Il faut les étirer le plus finement le plus régulièrement possible en tournant la pâte dans ses doigts. On peut l’étaler sur son genou : poser un torchon sur son genou et étirer la pâte dessus. Pendant que deux ou trois personnes étirent la pâte, une autre s’occupe exclusivement de la cuisson.
Dans une bassine à friture, mettre l’huile, quand elle est très chaude, déposer délicatement sur la surface le premier disque de pâte étiré. Un bouillonnement instantané se produit, signe que l’huile est assez chaude. La bunyeta se boursoufle. Quand elle est dorée du premier côté, la retourner avec une fourchette pour faire cuire l’autre face. Dès qu’elle est dorée des deux côtés, la déposer sur un plat et la sucrer généreusement. Quand elle est chaude, juste au sortir de la bassine de friture, le sucre adhère bien.
Continuer pour les suivantes. De temps en temps, il faut rajouter de l’huile dans la bassine. Régler le feu de façon à ce que les bunyetes cuisent vite (sans s’imbiber d’huile) et sans excès elles ne doivent pas être entièrement rousses. Le centre des bunyetes doit rester blond clair.
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coucou! si vous voulez goûter à la cargolade,et bien il vous faut d'abord ramasser les escargots!si! si !il faut la mériter cette cargolade! mais,ne vous inquiétez pas,ils ne mordent pas!
ils viennent tout seul dans le potager mais ils ne viennent pas tout seuls dans le sac!les fainéants!
donc,les ramasser
et
ensuite,les faire jeûner dans un sac de jute ou troué ou dans une cage grillagée sans oublier de leur mettre du thym
Quand ils ont bien jeûné et après les avoir grattés à sec et avoir enlevé l'opercule sêche(pas dans l'eau,surtout!),mettre dans une assiette, un mélange de sel et poivre et les remplir de ce mélange en faisant retomber le trop plein dans l'assiette puis les disposer sur une grille
pour les cuire au feu de bois : ici c'est feu de sarments de vignes!ça sent bon!!!!!
on peut leur rajouter à chacun ,pendant la cuisson,du saindoux fondu par le feu de sarment dans un cône en fer muni d'un manche et déposé dans chaque escargot
ou de l'aioli dans chaque escargot avant la cuisson
voilà! vous pouvez maintenant déguster la cargolade!accompagnée de pain tartiné d'aioli et faire passer le tout avec du bon vin que vous boirez à la régalade (avec modération)dans le pourrou!
quand un copain boit au pourrou,vous pouvez lui chanter cette chanson:
et glou et glou et glou! il est des no/o/otres,il a bu son vin comme les au/au/autres!!!
c'est un ivro/ogne,ça se voit rien qu'à sa tro/o/ogne!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
bonne journée et restez à l'ombre car le vin est un peu fort ici hips!
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